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Vous trouverez ci-dessous la liste des Catégories et articles du blog avec les liens vers les articles :

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  • Conférence CCAS Hyères les palmiers 2023

    Conférence "La SEXUALITÉ des SEXYGÉNAIRES, PARLONS-EN !",
    Avec le  Service Santé, Prévention et Risques et le CCAS de la ville d'HYÈRES les Palmiers.

    Nouvelle conférence dans le Var en santé sexuelle. A nouveau nous nous intéresserons à la vie affective et sexuelle des séniors, ou des sexygénaires ! Parce qu'il est important de continuer d'ouvrir le débat, d'encourager les échanges dans le respect la bienveillance et la simplicité. Nous avons tant à nous dire ! Je vais tenter d'apporter à la fois quelques connaissances et surtout mon expérience en libéral . Ce sera  sans aucun doute un joli moment intéressant , à très vite et faites connaître cet événement à vos réseaux susceptibles d'être intéressés, merci 

    SandraSexo

    Conference ccas hyeres les palmiers 2023 50

    Cliquer sur l'image pour l'agrandir.

  • «Liberté, Égalité, Sexualité : Faut-il arrêter de faire l'amour ?», Une émission "Sans oser le demander" de France Culture

    « Liberté, Égalité, Sexualité : Faut-il arrêter de faire l'amour ? »,
    Une émission "Sans oser le demander" de France Culture

    « La sexualité cristallise les questions de violence, consentement, normes sociales, rapports de force, et la libération sexuelle, dès les années 60, n'a donc peut-être pas été si libératrice que cela... Alors pour se libérer vraiment, faut-il arrêter de faire du sexe ?

    Avec : Cornelia Möser docteure en études de genre, habilitée à diriger des recherches en philosophie et chargée de recherche au CNRS au laboratoire CRESPPA, équipe genre, travail, mobilités à Paris et au Centre Marc Bloch à Berlin.

    En 2022, et vous ne l'avez peut-être pas vu, un chiffre étonnant est paru : 43% des jeunes (entendez là les 15-24 ans) n'ont pas eu de relations sexuelles en 2021.
    En cause : le rejet de l'acte sexuel comme performance individuelle mais aussi celui de la sexualité comme espace non pas de liberté mais d'aliénation.
    Violences, normes sociales et de genres, consentement, désir et plaisir... ce chiffre a beau être neuf, il n'a pourtant rien de nouveau : dès les années 60, la libération sexuelle ne l'a pas forcément été... De quoi enfin vous poser (ou reposer) cette question : faut-il que j'arrête de baiser pour me libérer ? »...

     

    Lire et écouter l'intégralité de cet article sur le site de France Culture.

  • L'essentiel sur le rapport - Porno : l'enfer du décor.

    L'essentiel sur le rapport d'information - Porno : l'enfer du décor,
    un document de la délégation aux droits des femmes du Sénat.

    Après plus de six mois de travaux, des dizaines d’heures d’auditions (dont celle, à huis clos, de victimes de l’affaire dite « French Bukkake ») et une analyse des principaux contenus pornographiques en ligne aujourd’hui, la délégation dénonce une industrie de la pornographie qui génère des violences systémiques envers les femmes.

    Elle alerte le Gouvernement et l’opinion publique sur l’ampleur de ce phénomène et appelle à faire de la lutte contre les violences pornographiques et leurs conséquences une priorité de politique publique et pénale.

    UN SYSTÈME DE VIOLENCES ENVERS LES FEMMES AUJOURD’HUI ÉRIGÉ EN NORME PAR L’INDUSTRIE PORNO...

    voir l'intégralité de ce document sur le site du Sénat Français.

    Porno l enfer du decorCliquez sur l'image pour accéder à l'intégralité du document sur le site du Sénat Français.

  • « L'importance d'enseigner la sexualité à l'école », un podcast "EN TOUTE SUBJECTIVITÉ" sur Radio France.

    Résumé

    Ce matin, on parle de clitoris… Sur ce sujet, l'ignorance est générale. Le clitoris n’est représenté dans son intégralité que depuis 2017 dans les manuels de SVT ! Le sexe est un sujet tabou, qui est pourtant partout, mais dont nous persistons à ignorer tout. Pourquoi faut-il que cela change ?

    L'importance d'enseigner la sexualité à l'école

    L’organe bulbo-clitoridien fait partie de ce qu’on appelle les organes génitaux externes, mais il est presque entièrement caché.

    En savoir plus

    Oui, de cet organe uniquement dédié au plaisir le clito, et qui, malgré ses prouesses, ne fait généralement pas la une des journaux matinaux. Un organe dont à vingt-sept ans, bien qu’ayant déjà fait de son usage la magique trouvaille, je ne connaissais pourtant à cet âge ni la forme ni la taille...

    Consulter l'intégralité de cet article sur le site de RadioFrance.

    Écoutez l'intégralité de ce podcast sur le site de RadioFrance.

  • « On ne tue jamais par amour », un documentaire ARTE.

    ARTE

    « Dans un récit choral, des victimes féminines et masculine racontent par leurs voix anonymes la mécanique de la violence conjugale. Emprise, domination, peur, souffrance physique et psychologique, désespoir caractérisent ces relations, qui font souvent écho à un modèle familial déjà violent. À travers la danse, Kevin Gay crée un décalage saisissant et dénonce la faiblesse de la réponse publique.

    ON NE TUE JAMAIS PAR AMOUR.  » lire la suite sur la chaine Youtube de ARTE.

    Documentaire de Laetitia Ohnona

    Disponible jusqu'au 28/11/2024.


    Visionner cette vidéo sur la chaine Youtube de ARTE.

    Retrouvez toutes les vidéos utiles pour une sexualité sans risques en visitant ma «Gallerie Vidéo».

  • Face aux violences de genre, l'importance de porter plainte.

    Un édito, pour exprimer que depuis de trop nombreuses années d'exercice en libéral je constate que face aux violences de genre que subissent les patientes, bien trop peu portent plainte, bien trop peu ont même tenté de le faire !

    Je me sens assez démunie et c'est tout un monde de justice, de protection, d'éducation que nous risquons de perdre. En effet, des générations d'agresseurs non inquiétés vont perpétrer des comportements inadmissibles et criminels en toute tranquillité et des milliers de victimes vont passer leur temps en thérapie bloquées dans leur chair, la honte et la culpabilité ! une inversion des pôles complète !

    À force de ne pas utiliser des lois qui sont le fruit de combats acharnés d'hommes et de femmes de bien, la justice risque de retomber dans l'obscurantisme d'un temps où les violences étaient renvoyées à un problème de moeurs : circulez, y a rien à voir !

    C'est un cri, même si bien sûr la justice actuellement souffre de tout un tas de maux comme dans toute institution, il est fondamental que tous les professionnels de santé, du social pensent à poser la question des violences de genre et parlent dépot de plainte, procédures et aussi associations de juristes existantes. Ce serait un premier pas pour stopper l'impunité et cesser le massacre... Nous devons penser au futur des petites filles à naître de les protéger et faire que ces hommes (qui ne sont pas tous les hommes je suis claire) ne puissent plus se comporter de la sorte sans se cogner au mur d'un NON définitif et systématique, le NON de la loi, le NON de toute la communauté nationale .

    C'est assistance à personne réellement en danger, nous avons les lois et les outils , nous devons faire bloc pour que toutes ces femmes se lèvent !

     SandraSexo.

     

    Les types de violence fondée sur le genre, sur le site du Conseil de l'Europe.

    La violence n’est souvent associée qu’à la violence physique, sans prise en compte des autres formes de violence, non physiques. C’est une question délicate ; dans ces conditions, toute classification selon des « types » est forcément inexacte.

    La Convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique prévoit les types de violence ci-après :

    • la violence psychologique (art. 33) ;
    • le harcèlement (art. 34) ;
    • la violence physique (art. 35) ;
    • la violence sexuelle, y compris le viol (art. 36) ;
    • les mariages forcés (art. 37) ;
    • les mutilations génitales féminines (art. 38) ;
    • l’avortement et la stérilisation forcés (art. 39) ;
    • le harcèlement sexuel (art. 40) ;
    • l’aide ou la complicité et la tentative (dans la commission des infractions établies) (art. 41) ;
    • la justification inacceptable des infractions pénales, y compris les crimes commis au nom du prétendu « honneur » (art. 42).

    Prenant cette liste pour base dans cette publication, nous allons distinguer cinq types de violence corrélés :

    Il existe deux autres catégories de violence que l’on peut trouver dans ce chapitre, la violence domestique et le harcèlement (sexuel), toutes deux pouvant être une combinaison des cinq types de violence susmentionnés. Dans la réalité, certaines de ces formes de violence, voire plusieurs, peuvent coexister, notamment dans les relations violentes. Toutes peuvent se manifester dans la sphère privée (famille et relations intimes) et dans la sphère publique (étranger.ère.s, ou encore organisations, institutions et États).

     

    Foire aux questions : Formes de violence à l’égard des femmes et des filles, sur le site de l'ONU Femmes.

    « La violence à l’égard des femmes et des filles est l’une des atteintes aux droits de la personne les plus fréquentes dans le monde, se produisant et se répétant au quotidien dans tous les pays. Elle entraîne pour celles qui en sont victimes de graves conséquences physiques, économiques et psychologiques, à court et à long terme, entravant leur participation pleine et égalitaire à la vie en société. L’ampleur de son impact, tant sur les survivantes que sur leurs familles et même sur l’ensemble de la société, est incommensurable. La nouvelle « normalité » créée par la pandémie – notamment les mesures de confinement, les restrictions à la mobilité, l’isolement accru, le stress et l’incertitude économique – a provoqué une flambée alarmante de la violence domestique et expose les femmes et les filles à d’autres formes de violence, par exemple le mariage d’enfants ou le harcèlement sexuel en ligne. Cette FAQ donne un aperçu des nombreuses formes de violence qui existent, en expliquant certains termes et concepts communément utilisés, que tous les défenseurs et défenseuses de l’égalité des sexes devraient connaître et inclure dans leur vocabulaire. »...

    Lire la suite de cet article sur le site de l'ONU Femmes.

    Types of violence

    Cliquer sur l'image pour consulter l'intégralité de cet article sur le site de l'ONU Femmes.

  • « Comprendre les transidentités, Un guide à l’usage des personnes cis », une brochure de l’Association Transat.

    Bienvenue dans cette brochure sur les transidentités !
    « Qu’est-ce que la transidentité? Que vivent les personnes trans au quotidien? Comment parler à une personne trans, ou comment l’accompagner dans ses démarches ? Qu’est-ce que le genre, et comment se manifeste-il dans notre société? Vous trouverez ici des réponses à ces questions ainsi qu’à beaucoup d’autres que vous vous posez sans doute sur le thème des transidentités.
    Que le but soit de compléter vos connaissances ou tout simplement de vous informer, cette brochure vous permettra de mieux comprendre les personnes transgenres: ce qu’elles vivent au quotidien, les préjugés, les violences et les discriminations dont elles peuvent être victimes, et comment les dépasser et les combattre. Aujourd’hui encore, la transidentité demeure dans notre société un sujet tabou: or nous avons peur de ce que nous ne connaissons pas, et cette ignorance peut très souvent conduire à de la transphobie. Nous, association Transat, collectif de personnes transgenres basé à Marseille, avons donc écrit cette brochure dans le but de lutter contre cette méconnaissance qui porte, même sans le vouloir, directement atteinte aux personnes transgenres. »...

    Comprendre les transidentites

    Voir l'intégralité de cette brochure de l'association TRANSAT sur le site du DILCRAH.

  • La réduction des risques et des dommages, un principe au cœur de notre action. Un article de l'Association Addiction France.

    « La réduction des risques et des dommages (RDRD) est un principe de santé publique visant à réduire les conséquences et les dommages – sanitaires et socio-économiques – induits par la consommation de substances psychoactives chez les individus, sans attendre d’eux un arrêt ou une diminution de leur consommation.

    Cette politique a été initiée à la fin des années 80 pour endiguer les contaminations au VIH parmi les usagers de drogues. Depuis 2004 et l’adoption de la loi sur la politique de santé publique, elle fait l’objet d’une reconnaissance par l’Etat... »

     

    La reduction des risques et des dommages

    Cliquer sur l'image pour l'agrandir.

    Visualiser l'intégralité de cet article sur le site de l'Association Addictions France.